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COOPÉRATION BILATÉRALE

La coopération bilatérale entre le Royaume du Maroc et ses partenaires étrangers a été caractérisée par un dynamisme important, grâce à la conclusion de plusieurs accords et programmes de coopération sur les questions de la migration en général, dans un contexte marqué par des flux migratoires importants.

COOPÉRATION AVEC L’ALLEMAGNE

La coopération avec l’Allemagne est axée sur les cinq projets suivants :

Le « Renforcement des capacités des collectivités locales marocaines dans la gestion des flux migratoires», financé par la Ministère fédéral de la Coopération économique et du Développement

Objectifs : 

-Renforcer les capacités des collectivités locales au Maroc dans la gestion des flux migratoires .
-Transmettre des connaissances et des expériences par rapport à l’intégration sociale, économique et culturelle des migrants  au niveau local.
-Apporter des améliorations concrètes pour les populations au niveau local.
Partenaires
-MCMREAM : Chef de file.
-Ministère de l’Intérieur : Membre du comité de pilotage
-GIZ : Mise en œuvre du projet
+10 communes sélectionnées, Administrations locales, les associations locales et le secteur privé.

Promotion de la coopération triangulaire : Maroc/Pays du Sud /Allemagne.

Projet dont l’objectif principal est l’encouragement des MRE d’Allemagne porteurs de projets à investir et contribuer au développement économique du Maroc.

Etat d’avancement 

– En attente de démarrage
– Réunion avec l’équipe de la GIZ et le représentant de la chambre du commerce allemande à Casablanca

Promotion des investissements productifs des MRE d’Allemagne Les projets financés par l’Allemagne sont gérés et coordonnés par l’Agence de coopération allemande GIZ, qui a un bureau à Rabat et qui assure le suivi et la mise en œuvre des actions retenues.

COOPÉRATION AVEC LA BELGIQUE

Dans le cadre du programme de coopération maroco-belge 2016-2020, mis en œuvre en étroite collaboration avec l’Agence belge de développement «Enabel», le volet Migration se divise en deux composantes :

a) Projet d’Appui à la Stratégie Nationale en faveur des MRE « Maghrib Belgium Impulse »

Le Projet d’Appui à la mise en oeuvre de la Stratégie Nationale en faveur des Marocains Résidant à l’Etranger vise la mobilisation et l’accompagnement individualisé des porteurs de projets MRE en Belgique et au Maroc pour la création et la commercialisation de leurs entreprises au Maroc, et la mise en place d’un écosystème MRE entrepreneurs belges au Maroc et en Belgique. Baptisé «Maghrib Belgium Impulse » (MBI), le projet durera 3 ans (entre 2017 et 2020) dont six mois de préparation, deux ans de mise en oeuvre, et six mois de capitalisation et de clôture. Faisant suite à MEDMA II, mis en oeuvre entre juillet 2012 et juin 2015, dans le cadre du Programme indicatif de Coopération maroco-belge 2 010-2013, « Maghrib Belgium Impulse » sera doté d’un budget de 1.25 millions d’euros, et favorisera les investissements productifs d’économie verte, et d’économie sociale et solidaire.

MBI sera mis en œuvre dans le cadre d’un consortium chapeauté par la CGEM comme partenaire marocain et par un partenaire belge qui sera bientôt sélectionné.

La convention spécifique du programme maroco-belge d’appui à la gestion de la thématique migratoire a été signée le 15 mars 2018 par Messieurs le Ministre délégué Chargé des Marocains Résidant à l’étranger , le Ministre de l’Economie et des Finances et l’Ambassadeur de Belgique au Maroc. Cette date signale le démarrage effectif de la mise en œuvre .

COOPÉRATION MAROCO-ESPAGNOLE

Le Maroc et l’Espagne entretiennent des relations stratégiques et exemplaires sur tous les niveaux : politique, économique, culturel et social, reflétant les valeurs communes de démocratie, de bon voisinage et de respect mutuel.
Ainsi, les deux pays affichent, depuis la signature en 1991 du Traité d’Amitié, de bon voisinage et de coopération, un engagement indéfectible pour aller de l’avant dans leur partenariat stratégique, fort et diversifié, dans plusieurs domaines d’intérêt commun.
Le volet politique occupe une importance particulière entre le Maroc et l’Espagne. Les deux pays sont des alliés stratégiques dans une zone et un contexte géopolitique très sensibles, exigeant concertation et dialogue permanent pour faire face aux défis auxquels la région méditerranéenne est confrontée, y-compris ceux relatifs à la migration. Les relations Maroco-Espagnoles en matière de migration sont assez anciennes en raison de l’existence d’une importante communauté d’origine marocaine en Espagne, qui compte près de 759.999 personnes (*), et le soucis partagé au niveau de la gestion de la migration en étant, tous les deux pays, appartenant à l’espace méditerranéen, marqué par des flux importants de migration, notamment en provenance de l’Afrique sub-saharienne, qui posent des défis majeurs d’ordre de sécurité liés au contrôle des frontières.

Dans ce cadre, le Maroc et l’Espagne gèrent d’une manière efficace, l’opération de transit «Marhaba » à travers le détroit de Gibraltar qui permet à un flux de plus de 5 millions de marocains résidant à l’étranger de transiter dans les deux sens et dans les meilleures conditions. Cette opération, devenu un modèle au niveau mondial, symbolise le niveau de coopération et de partenariat développé entre les deux pays et la parfaite coordination entre tous les intervenants. Pendant la saison estivale de 2019, le nombre de personnes ayant
regagné le Maroc est de 2.965.462 personnes, soit une augmentation de
3,47% par rapport à l’année 2018

Source : Observatoire Permanent de l’immigration (Secrétariat Général de l’Immigration et l’Emigration – Madrid).

Ainsi, le Ministère délégué auprès du Ministre des Affaires Étrangères, de la Coopération Africaine et des Marocains résidant à l’Étranger, Chargé des Marocains Résidant à l’Étranger et le Secrétariat Général de l’Emigration et de l’Immigration, ont mis en place un espace d’échange et de concertation sur les questions liées à la migration, appelé « Forum Maroco-Espagnole sur l’immigration et l’intégration ».

La 1ère édition de ce Forum a été organisée conjointement les 19-20 novembre 2015 à Madrid. L’organisation de ce forum a été l’occasion d’établir un cadre permanent de dialogue sur les diverses questions liées à la migration, notamment les aspects relatifs à l’intégration. Par ailleurs, la coordination Maroco-Espagnole vise à renforcer davantage certaines initiatives communes liées à l’immigration, telles que la mise en oeuvre du projet stratégique « Vivre ensemble sans discrimination », qui repose sur les Droits de l’Homme et la dimension Genre, en s’appuyant sur la dimension culturelle en tant que vecteur d’intégration et du vivre ensemble. Ces initiatives et programmes contribuent au renforcement des politiques publiques visant à prévenir et sensibiliser tous les intervenants et les populations sur la question de la diversité et le respect envers la population migrante sur la base de la protection des droits fondamentaux des personnes migrantes et la promotion du vivre ensemble.

A cet égard, le Maroc et l’Espagne sont conscients de l’importance de promouvoir la diversité et la cohéxistance entre deux cultures par le biais d’un accompagnement lucide et responsable, et éviter les conséquences parfois inacceptables de rejet, notamment à l’encontre des jeunes. Livrés à eux-mêmes, ces jeunes peuvent rencontrer un discours qui alimente la haine et augmente le risque de dérapage et d’exploitation dans un environnement de plus en plus altéré par la montée de la xénophobie et d’extrémismes de tous genres.

Dans ce sens, Ministère délégué auprès du Ministre des Affaires Étrangères, de la Coopération Africaine et des Marocains résidant à l’Étranger, Chargé des Marocains Résidant à l’Étranger et le Secrétariat Générale de l’Emigration et de l’Immigration en Espagne ont organisé la 2ème édition du Forum maroco-espagnol les 20 et 21 mars 2018 à Rabat, sur le thème : « Vivre ensemble », afin de mieux comprendre et analyser en profondeur cette thématique aussi importante.

L’organisation de ce Forum réunissant une pléiade de hauts responsables, de diplomates, de professeurs universitaires, d’experts et d’acteurs de la société civile, témoigne de l’intérêt porté par les deux pays au phénomène migratoire dans toutes ses dimensions, et la volonté affichée pour renforcer le cadre de partenariat et de coopération exemplaire existant entre les Royaume du Maroc et le Royaume d’Espagne.

• Objectifs du forum

– Etudier les bonnes pratiques existantes en matière de diversité culturelle et du Vivre Ensemble en tant que leviers d’intégration et de respect des droits des migrants ;
– Ouvrir un débat avec les experts, chercheurs marocains et espagnols et les membres de la société civile dans le but de formuler des propositions concrètes sur la mise en œuvre du projet « Vivre Ensemble » ;
– Dresser une feuille de route à même de consolider la coopération Maroco-Espagnole, dans le domaine de l’intégration des migrants ;
– Construire des mécanismes de collaboration et initier des forums et groupes d’influence sur la question du « Vivre Ensemble » ;
– Identifier des actions concrètes à mettre en place pour promouvoir le « Vivre ensemble ».

• Axes du forum :

– Session 1 : « Le Vivre Ensemble » : pour une responsabilité partagée et des valeurs de la Citoyenneté.
– Session 2 : Les communautés marocaines et espagnoles : Quels défis d’intégration !
– Session 3 : Les compétences marocaines et espagnoles à l’Etranger : Quelle contribution pour les deux Pays ?
– Session 4 : Les politiques migratoires : quels défis communs

Note de cadrage du 1er Forum

Note de cadrage du 2ème Forum

La coopération entre Ministère délégué auprès du Ministre des Affaires Étrangères, de la Coopération Africaine et des Marocains résidant à l’Étranger, Chargé des Marocains Résidant à l’Étranger et la Fondation des Trois Cultures de la Méditerranée à Séville remonte à l’année 2010.

 

En effet, cette coopération a permis aux deux parties de planifier et de mettre en œuvre un programme annuel conjoint, qui comprend des divers domaines tels que la culture, l’intégration, l’enseignement de l’arabe et de l’espagnol aux Marocains résidant en Espagne, la communication et la sensibilisation sur l’importance de la thématique du « Vivre ensemble » dans la coexistence et la bonne intégration.

En marge de la deuxième édition du Forum Maroco-espagnol, les deux parties ont signé une convention de coopération le 20 mars 2018 à Rabat, dans le même objectif de mieux faciliter l’intégration des marocains résidant en Espagne et plus particulièrement ceux qui vivent en Andalousie.

Coopération avec les pays de l’Afrique Sub-saharienne

La coopération Sud-Sud est une nouvelle forme de l’architecture de l’aide plutôt éloignées du modèle traditionnel « Nord-Sud ». Les organisations de la société civile jouent un rôle important dans le renforcement de la coopération Sud-Sud.

Elle vise le respect du principe de non-ingérence dans les affaires intérieures, l’égalité entre les partenaires en développement et le respect de leur indépendance, de leur souveraineté nationale, de leur diversité et identité culturelle, et des contenus locaux. Elle joue un rôle important dans la coopération internationale au développement et complète utilement la coopération Nord-Sud.

 Elle peut être définie comme un échange de connaissances et de ressources dans les domaines politiques, économiques, sociaux, culturels, environnementaux ou techniques entre les gouvernements, les organisations et les individus des nations en développement. Elle peut être mise en œuvre à un niveau bilatéral, régional, sous-régional ou inter-régional et peut concerner deux ou plusieurs pays en développement. Elle est basée sur la réalisation d’objectifs approuvés internationalement en matière de développement, comprenant notamment les Objectifs du Millénaire pour le développement, vise à donner plus de poids aux pays en développement et à renforcer leur pouvoir de négociation lors des pourparlers multilatéraux. En outre, elle permet aux pays en développement de promouvoir leur autonomie et de consolider leurs liens économiques.

1. Nations Unies

En 1978, l’Assemblée générale des Nations Unies a mis en place l’Unité spéciale de coopération Sud-Sud du PNUD. Hébergée par le PNUD, le rôle premier de cette Unité spéciale consiste à promouvoir, coordonner et soutenir la coopération Sud-Sud et triangulaire au niveau mondial Plusieurs autres organes des Nations Unies, tels que l’OIT, l’ECOSOC, le PNUD, le Forum pour la coopération au développement des Nations Unies ou la Banque mondiale, encouragent et contribuent activement à la coopération Sud-Sud.

2. Les organisations de la société civile:

Les organisations de la société civile interviennent également dans la mise en œuvre de la coopération Sud-Sud. De nombreux syndicats ont
intégré la coopération Sud-Sud et la coopération triangulaire dans leurs programmes de développement.

Extrait du discours du Trône du 30 juillet 2004 de Sa Majesté le Roi Mohammed VI

 

« Avec une égale détermination, Nous tenons à ce que le Continent africain demeure au cœur de notre politique étrangère, veillant à renforcer nos relations avec l’ensemble des pays africains frères, notamment avec les moins avancés d’entre eux, à faire aboutir l’initiative du NEPAD, et à participer aux opérations onusiennes pour le maintien de la Paix et la préservation de la sécurité et de la stabilité dans la région du Sahel et à travers tout notre Continent africain ».

Extrait du discours du 6 novembre 2016 à Dakar, l’occasion du 41eme anniversaire de la Marche Verte de Sa Majesté le Roi Mohammed VI

« Ce discours, prononcé à partir de cette terre accueillante, traduit tout l’intérêt que nous portons à notre continent. La politique africaine du Maroc ne se limitera pas à l’Afrique occidentale et centrale. Nous veillerons plutôt à ce qu’elle ait une portée continentale, et qu’elle englobe toutes les régions de l’Afrique. C’est dans ce cadre que Nous avons effectué des visites au Rwanda et en Tanzanie, malgré le fait que les relations avec les Etats d’Afrique de l’Est n’étaient pas suffisantes, non pas par négligence ou par omission, mais pour des raisons objectives comme la langue, l’éloignement géographique et les différences de patrimoine historique. Animé d’une volonté partagée avec les directions fortes de ces Etats, nous avons décidé d’imprimer une nouvelle dynamique aux relations économiques et politiques entre nos pays, compte tenu du poids politique que représente cette région et des potentialités économiques et des atouts stratégiques dont elle dispose »

Conscient de l’enracinement profond de son appartenance africaine, le Maroc s’est engagé, depuis son indépendance, dans la voie du raffermissement de ses relations historiques, avec les pays africains. La politique étrangère marocaine fut marquée, dès le départ, par l’appui résolu et solidaire du Maroc à la lutte de libération des pays africains du joug colonial et par la consolidation de l’unité africaine qui s’est particulièrement illustrée par la création de l’Organisation de l’Unité Africaine dont le Maroc figure parmi les fondateurs.

L’action diplomatique marocaine s’est assignée comme objectif stratégique de hisser la coopération avec les pays africains au niveau d’un véritable partenariat agissant et solidaire. C’est dans cette perspective que les multiples Visites Royales effectuées par Sa Majesté le Roi Mohammed VI, depuis son intronisation, à de nombreux pays africains, ont créé une nouvelle dynamique dans les relations avec ces pays frères et ont donné une forte impulsion à la coopération sud-sud du Maroc avec son espace africain.

Ces visites Royales ont ponctué une série d’accords de coopération dans les domaines du développement économique, technique, social, culturel et humain tels que la lutte contre la pauvreté et les maladies, l’agriculture et l’agro-alimentaire, les pêches, l’éducation et la formation, la gestion de l’eau et l’irrigation, les infrastructures de base et l’aménagement urbain, les technologies de l’information, et la gestion financière et les banques.

C’est à partir des années 1970 que des commissions mixtes ont été créées pour organiser et gérer la coopération bilatérale dans l’ensemble des domaines concernés par les accords, les conventions et les protocoles. Afin d’insuffler une nouvelle dynamique à la coopération, le Maroc et les pays africains ont opté pour la création et la réactivation des commissions mixtes pour consolider la base juridique Ces commissions créent le climat favorable pour des consultations bilatérales périodiques, l’augmentation des échanges commerciaux et d’investissement, le renforcement de la coopération et l’échange d’expériences dans les domaines techniques, culturels, sociaux et humains.

Entre 1973 et 1987, soixante-trois accords de coopération ont été signés entre le Maroc et 17 pays africains : Côte-d’Ivoire, Cameroun, Sénégal, Zaïre, Gabon, Nigeria, Guinée, Guinée Equatoriale, Comores, RCA, Togo, Tchad, Mali, Gambie, Cap vert, Liberia et Niger.

Ces accords portent sur les domaines culturels, scientifiques et techniques, commerciaux, du transport aérien, du transport maritime, des postes et télécommunications, financiers, de la marine marchande, du tourisme, de l’investissement, de l’agriculture, de la fonction publique, de la santé, des routes et des chemins de fer, de la formation professionnelle et de l’habitat.

Depuis 1996, l’accroissement notoire de la création des commissions mixtes a contribué au renforcement des liens de coopération entre le Maroc et son espace africain. Cette coopération est actuellement régie par un cadre juridique comportant quelques 478 Accords, Conventions et Protocoles. Sa mise en œuvre est assurée par des commissions mixtes. Des dispositifs institutionnels, tel l’Agence Marocaine de Coopération Internationale (AMCI), sont également mis en place pour donner une forte impulsion à cette coopération.

Parallèlement aux actions bilatérales, le Maroc demeure très actif au niveau des organisations régionales africaines, notamment auprès des communautés économiques régionales (CER) avec lesquelles il ambitionne de resserrer les liens pour augmenter et diversifier les échanges commerciaux, techniques et d’investissement et renforcer la coopération avec les ensembles régionaux africains

Le Maroc ne cesse de mettre en avant les questions de développement de l’Afrique, en particulier des Pays africains les moins avancés, par l’organisation au Maroc de rencontres sur des questions prioritaires pour l’Afrique.
Par ailleurs, le Maroc ne ménage aucun effort pour défendre les intérêts de l’Afrique auprès des autres pays et groupements régionaux, notamment dans le cadre des dialogues entre l’Afrique et le reste du monde et au sein des organisations internationales. La diplomatie marocaine a toujours œuvré dans le but de placer la question du développement du continent africain au centre des préoccupations de la communauté internationale, notamment au sein des instances de l’ONU et de ses agences spécialisées tel est le cas du lancement de l’initiative intitulée l’alliance africaine pour la migration et le développement, à l’occasion des travaux du dialogue de haut niveau sur la migration organisé par l’OIM le 3 octobre 2013 à new York.

Historique de la migration marocaine en Afrique

 

-Une migration très ancienne qui date du 19 ème siècle: Sénégal et en Côte d’Ivoire avec quelques exceptions les autres pays subsahariens,

-La nouvelle vague de migrants marocains est liée essentiellement aux : Mariages mixtes et étudiants,

-La première activité est le commerce, fonctionnaires internationaux et hommes d’affaires.

-En fonction de la forte présence des MRE dans un pays de résidence, nos actions visent une préservation des droits des MRE et leur intégration dans ce pays, opération valable aussi pour les étrangers résidant au Maroc : principe de réciprocité
-Une demande émanant d’un pays qui souhaite un transfert et échange d’expériences en matière de politiques migratoires dans le cadre de la coopération Sud -Sud ou triangulaire.
Le Ministère par son expertise et son savoir faire dans la gestion des politiques migratoires, est de plus en plus sollicité par des pays africains et du Sud, amis et frères du Maroc. A cet effet, plusieurs accords (5) de coopération dans le domaine de la gestion des politiques migratoires ont été signés et en cours de mise en œuvre, d’autres (7) en attente de signature.

Les conventions finalisées en attente de signature

– Mali

– Gabon

– Tchad

– Burkina Faso

– RDC

– Mauritanie

– Mexique

– Turquie